La mémoire de l’eau

Objectiver l'effet de la Conscience sur la matière

L’eau n’est pas un liquide inerte. Nous sommes fait en grande majorité d’eau. Or, l’eau semble garder la mémoire de ce qui entre en contact avec elle.
Vous devez connaitre ces photos de cristallisations d’eau, de Masaru Emoto: ce dernier expose l’eau à une pensée, une photo, etc. et fait geler l’eau. Lorsqu’elle passe au stade de cristal (comme les cristaux de neige), cela donne différentes formes, plus ou moins harmonieuses, selon qu’il s’agisse d’une pensée positive ou négative.

Notez que si vous donnez le mot « Haine » à quelqu’un qui ne parle pas le français et qu’il réalise la cristallisation en pensant qu’il s’agit du mot « Amour », on obtient un beau cristal ! Conclusion : ce n’est pas le mot en lui-même qui produit une belle cristallisation. C’est le fait que la personne qui fait l’expérience aime ce mot ! C’est sa pensée qui agit.
Une belle pensée produit une belle cristallisation. Un amateur de Mozart obtiendra un beau cristal d’eau avec cette musique, alors qu’un amateur d’AC/DC obtiendra le même cristal harmonieux en écoutant sa musique préférée ! 😉

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 Voici une façon de mettre en évidence la mémoire de l’eau.
Quatre étudiants disposent sur une plaque quelques gouttes de la même eau. Leur plaque est photographiée et on note des différences significatives entre elles – à croire qu’il ne s’agit pas de la même eau ! Mais la goutte de chaque étudiant reste la même…

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Cela montre comment l’eau a « réagi » à chaque personne.Notez en passant que le chercheur dit bien que l’eau stocke une information, comme on retrouve cette donnée en Physique, comme en Homéopathie et en Hypnose Humaniste…
Ces travaux ont été réalisé par l’Aerospace Institute, de l’Université de Stuttgart (Allemagne).
Vidéo de démonstration : (n’est pas disponible, malheureusement).

Comme je l’ai mentionné au début de cet article, nous sommes composés en grande majorité d’eau (60 à 70 %, selon notre âge). Nous buvons et respirons de l’eau (via l’humidité de l’air) qui circule sur toute la planète et se « recharge » grâce à l’information de tous les êtres vivants. Nous rechargeons cette eau par notre respiration, notre toilette, etc.

Rien n’est séparé. Nous sommes tous interconnectés.

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Si le sujet vous intéresse, écoutez cette émission de radio où le professeur Montagnier, prix Nobel de médecine (co-découvreur du VIH), donne son avis sur la mémoire de l’eau:

« Il ne faut pas oublier que l’univers n’est pas seulement fait de matière », explique le professeur Montagnier. « Il est aussi fait d’ondes… » Et il nous rappelle que les ondes en question (comme les ondes radio, par exemple) ne font que ralentir la lumière, une lumière qui vibre moins rapidement, c’est tout (voyez ici).

À quoi sert une onde si ce n’est à transporter de l’information ? Pensons aux ondes radio, à l’utilisation des rayons X en médecine, au rayonnement cosmique, aux longueurs d’onde ultracourtes qui conservent la « mémoire » du Big Bang, etc.

En réalité, tout cela constitue un grand champ d’information.

onde

La biologie moléculaire (…) a atteint ses limites et n’explique pas tout. Certains phénomènes, comme l’homéopathie, demeurent mystérieux. Je fais référence à certaines idées de Jacques Benveniste (la « mémoire de l’eau ») car j’ai récemment été confronté à des phénomènes que seules ses théories semblent capables d’expliquer. Je pars d’observations, non de croyances. Certaines choses nous échappent encore, mais je suis convaincu que nous parviendrons à les expliquer de la manière la plus rigoureuse. Il est essentiel de poursuivre les recherches sur ce sujet ! Si nous commençons par nier l’existence de ces phénomènes, nous n’avancerons pas.
Professeur Luc Montagnier

Il s’agit d’une allusion directe au fait que toute observation touchant au domaine quantique est influencée par l’observateur (« la théorie détermine l’observation ») : par conséquent, un scientifique qui entreprendrait une expérience avec une idée préconçue du résultat ne ferait que concrétiser son opinion… Il ne découvrirait absolument rien !

Pour progresser dans ce nouveau domaine de recherche, il faudra des scientifiques affranchis des carcans du vieux paradigme matérialiste…